Dans La ruée vers l’or, dix aventuriers quittent leurs familles et tout confort moderne pour revivre la grande histoire de la ruée vers l’or du Klondike. De Skagway, en Alaska, à Dawson au Yukon, ils entreprennent l’aventure ultime de leur vie.
Partie 1 : Enfants d’Armageddon
Dans le contexte d’une menace nucléaire de plus en plus présente, renforcée par la politique américaine de ces dernières années, Maki, petite-fille d’une survivante du bombardement de Hiroshima tente de préserver la mémoire de l’horreur pour que l’histoire ne se répète pas et vit le stigma social attaché aux familles des irradiés.
Evelyn, originaire des Iles Marshall en exil à Honolulu, fille adoptive d’une femme irradiée par une bombe thermonucléaire américaine, a perdu sa terre et vit environnée du cauchemar des malformations génétiques et des cancers. Elle voudrait que les américains rendent justice aux siens et que leur souffrance soit reconnue.
Ces deux jeunes femmes nous introduisent également aux thèmes: de la réécriture de l’histoire institutionnelle en fonction de l’opportunisme politique, à la réalité des nouvelles armes nucléaires, à la contamination planétaire, au bouclier anti-missile, enfin à l’insuffisance des voix des survivants pour contrer une renaissance du nucléaire.
Partie 2: Que la bombe soit avec toi
Malgré l’engagement des états nucléaires à se désarmer, les traités sont bafoués et la menace nucléaire grandit sans rencontrer d’opposition populaire. C’est surtout la France et le Royaume-Uni qui sont mis en cause dans cette deuxième heure. Mauréa, jeune tahitienne anti-nucléaire, héritière du combat pionnier de son père, lutte dans une société où le nucléaire est tabou.
Elle nous permet de découvrir un pays déchiré par la colonisation nucléaire et un environnement rendu vulnérable au plutonium, un des poisons les plus puissants de ce monde. Elle voudrait que la vérité soit faite sur les essais.
Annie, néo-zélandaise, vit dans un pays anti-nucléaire et marche dans les pas de ses parents, figures héroïques du mouvement de la paix et instrumentaux dans la condamnation des armes par la Cour internationale de justice. Elle représente à la fois l’espoir de l’action citoyenne et le désespoir de la jeunesse toujours aux prises avec un atome qui n’a rien de fatal puisque des solutions sont en place, des traités sont signés. Les mouvements de la paix semblent avoir perdu leur voix avec la fin de la guerre froide. Mais en Juin 2006, les pacifistes du monde entier se rencontrèrent à Vancouver dans le cadre du Forum international de la paix. Y a-t-il un réveil?
Une série documentaire unique, traversant différentes époques du Québec, observant l’évolution des jeux et des jouets en fonction des facteurs sociologiques et des avancées technologiques. Nous y rencontrons France Castel, Jacques L’Heureux et Marie-Lise Pilote, qui partagent leurs expériences de jeunesse vis-à-vis différents jeux et jouets. Divers experts et entrepreneurs expliquent l’impact des jouets sur la société, en passant par l’importance de la période des fêtes au niveau commercial et la différence culturelle québécoise dans le marché nord-américain. Partez à la redécouverte de votre enfance via les jouets qui vous ont fait vibrer.
Chaque année, le Canada reçoit jusqu’à trente-cinq mille immigrants portant le statut de réfugiés. Ce sont des gens qui, souvent, ont été témoins et victimes d’actes d’une barbarie difficile à imaginer. Traumatisé par les images qu’il filme lors d’une guerre civile génocidaire, et persécuté de toute part pour son refus d’y prendre part, le caméraman burundais Mohammed- Abdillah Baranyikwa croit échapper au conflit lorsqu’il arrive au Canada. Ainsi en va-t-il de Chantal Mirindi Safi, qui fuit la guerre civile du Congo et tente de recommencer une nouvelle vie. Tous deux découvrent que, malgré tout, pour eux et pour leur communauté en exil, ce n’est que le début d’un chemin difficile vers la liberté et la paix. « La question fondamentale, c’est: est-ce que le peuple veut des réfugiés au pays? Si la réponse est oui, il faut se donner des moyens pour créer des ponts, et d’ouvrir l’esprit. Mais si la réponse est non, si on n’en veut pas, arrêtons de faire semblant. C’est trop cruel… »
C’est ainsi que la question est posée par Andrée Juneau qui travaille depuis vingt ans auprès des réfugiés. Quelle est la responsabilité du Canada en tant que pays d’accueil envers les réfugiés qu’il accepte? Sommes-nous vraiment en mesure de les comprendre et de les aider, et comment pouvons-nous faire en sorte qu’ils puissent vraiment amorcer ici une vie nouvelle?
C’est l’histoire de Jean Caux, dit Cataline, ce pionnier francophone venu tenter sa chance pendant la ruée vers l’or de 1858. Après maints échecs à titre de mineur, il découvre que l’or se trouve surtout dans le transport de marchandises. C’est ainsi que débute sa carrière de paqueteur qui couvre plus d’un demi-siècle et qui le mène, lui et son train de mules, à parcourir la Colombie- Britannique, depuis les eaux douces du fleuve Fraser jusqu’aux pentes vertigineuses de la région du Cariboo.
Dans ce passionnant documentaire d’une heure, faites la connaissance de cet aventurier, pour qui la vie était les sentiers, la nature sauvage et les nuits à la belle étoile. Rencontrez aussi les personnages qui racontent sa vie et qui, malgré les années, ont su garder intacte la mémoire de Cataline.
À travers l’aventure des voyageurs et la traite des fourrures, Le printemps des voyageurs traite de l’alliance des cultures amérindienne et européenne sur laquelle notre pays a été fondé. Les historiens qui ont participé aux productions sont originaires du Québec, du Manitoba, de la Colombie-Britannique, de l’Alberta, de l’Ontario, du Wisconsin et de l’Oregon. Hommes, femmes, francophones, anglophones, Blackfoot, Américains, Métis. le multiculturalisme de l’équipe reflète celui des voyageurs et de leurs descendants qui sont au centre de l’histoire.Les voyageurs et leurs familles métisses font partie de l’immense cohorte des petites gens auxquels l’histoire officielle ne s’intéresse que très peu.
Nos deux émissions sont entièrement consacrées à ces peuples méconnus. Chaque production a pour narrateur un personnage fictif dont nous suivons l’aventure.
Sous la forme d’un récit de voyage, un acteur passionné de littérature tente de raconter l’histoire et la magie des lieux les plus célèbres de la littérature franco-canadienne. La série documentaire Les Nouveaux Mondes veut convier les téléspectateurs à partir en voyage dans l’univers d’un auteur en compagnie de passionnés de littérature. Par ce fait même, elle veut les convaincre que la découverte d’un livre est elle aussi un voyage, un déplacement, une rencontre à l’étranger.
Marguerite, hier et aujourd’hui raconte le parcours singulier de Marguerite d’Youville, première Sainte du Canada, et retrace l’œuvre tricentenaire qu’elle a léguée à travers Les Sœurs Grises. Ces 2 × 60 minutes nous plonge au cœur de la disparition inéluctable de cette communauté qui, au-delà des bâtiments dont elle doit se départir, se préoccupe de voir se perpétuer sa mission humanitaire. Comment les Soeurs Grises, faisant face à une fin certaine, vont elles assurer la perpétuation de leurs valeurs et plus important encore, qui va prendre soins des pauvres?
Voilà la grande question que nous pose ce documentaire. Aujourd’hui, il ne manque pas de passion chez les Sœurs Grises et non plus chez tout ceux et celles qui œuvrent auprès d’elles. La charité universelle se perpétue dans le monde d’aujourd’hui, non seulement par les mains de ces femmes dévouées, mais par toutes sortes de Laïcs. Ces employés et bénévoles dévoués, qui portent en eux l’inspiration des Sœurs. Les dernières Sœurs Grises nous offrent, pour l’occasion, un regard personnel lucide et serein sur le passé et la fin imminente de leur communauté. C’est donc le désir de laisser à ces femmes, qui ont toujours agi ; la parole.
Un monde de passions est une série qui met en vedette des canadiens et des canadiennes passionnés, qui ont eu un impact majeur sur notre mode de vie et notre vision du monde. Cette série convie le spectateur à un fascinant voyage au cœur de la vie de « Ceux par qui le changement arrive ».