Bali par Coeur

Un groupe de 11 musiciens vancouverois s’est vu proposer un défi: composer, répéter et présenter en concert une nouvelle pièce de musique écrite pour un gamelan et un ensemble occidental composé d’un piano et d’un octuor de cuivres. Ils se joignent donc aux vingt-sept membres du gamelan Çudamani dans le petit village de Pengosekan au centre de Bali, à l’initiative du compositeur et ethnomusicologue canadien Michael Tenzer.

Pendant un mois, ils vivent une immersion balinaise totale alors qu’ils doivent s’adapter à un environnement culturel et à des conditions de vie entièrement neufs. Bali par coeur c’est plus qu’un documentaire musical. C’est une histoire profondément humaine d’amitié, d’enthousiasme, de défis et de conflits. C’est aussi le témoignage émouvant de l’attachement profond des Balinais à une culture dont ils ont compris qu’elle était leur principal moyen de survie.

Plus que des rencontres, plus que des prestations artistiques, chaque émission de Pour un soir seulement va à la recherche de ce qui identifie chaque artiste ou groupe d’artistes; comment vivent- ils l’expérience du jumelage et l’impact de celui- ci.

Magazine jeunesse destiné aux jeunes des Premières nations francophones, Chic Choc permet aux jeunes d’exprimer ce qu’ils pensent de la vie, de leur avenir, de ce qui les anime et de ce qu’ils veulent changer. Chaque émission s’articule autour d’une thématique telle l’amour, la santé, la solidarité, l’humour ou la tradition. Témoignages, défis sportifs et communautaires, vox pop et vidéoclips sont les prismes par lesquels les jeunes s’expriment et se révèlent. Leurs paroles trouvent d’ailleurs un écho complice auprès des animateurs Mélanie Napartuk, chanteuse et comédienne originaire du Nunavik et Christian Laveau, musicien et chanteur du spectacle Totem (Cirque du Soleil).

 

Amalgame est un rendez-vous hebdomadaire qui propose de suivre les aventures d’un auteur-compositeur-interprète dans une des régions francophones du pays. Chaque semaine, un artiste découvre une région qu’il ne connaît pas et en apprend davantage sur son histoire. Des rencontres et des découvertes lui permettent de créer un contact direct avec une autre communauté francophone que la sienne. Un concert intime conclu chacun de ses rendez-vous inoubliables.

« Nagamowin », chanter en ojibwé, c’est 13 épisodes de 30 minutes qui suivent 13 auteurs-compositeurs autochtones de partout au Canada. Ils sont en concert dans 13 communautés autochtones différentes en Saskatchewan, au Manitoba, en Ontario, en Colombie-Britannique et au Nunavut.

L’Acadie du monde, c’est un spectacle présenté lors de l’ouverture du Congrès mondial acadien en 2014.


Cayouche a-t-il besoin de présentation? Véritable phénomène social, la popularité de l’auteur-compositeur-interprète dépasse largement les frontières de l’Acadie. Dans Cayouche, le temps d’une bière, le réalisateur Maurice André Aubin nous propose un voyage dans l’univers de cet artiste entier, sans artifices, fidèle à ses nombreux admirateurs, mais surtout fidèle à lui-même. De Burnsville dans la Péninsule acadienne à Paris en passant par la Normandie, nous apprenons à mieux connaître l’homme derrière Cayouche. Tantôt drôle, tantôt émouvant, ce road movie est une rencontre intime avec cet homme haut en couleur. Le temps d’une bière, Cayouche nous amène sur son inséparable Harley-Davidson sillonner son univers…

 

Le documentaire Du ‘stir’ en Acadie, nous fait voyager au gré du Congrès mondial acadien 2009 qui a eu lieu dans la Péninsule acadienne au Nouveau-Brunswick. Le réalisateur Joël A. Robichaud, a su capter l’engouement à travers l’expérience d’un individu, d’une famille et d’une communauté. En Acadie, quand on dit ‘stir’ on s’éclate y faut que ça brasse. La preuve? 50 000 acadiens ça fait du stir!

Dans ce film produit par Mozus Productions, le réalisateur mise sur le off Congrès. On y découvre des gens qui vibrent au rythme des échanges et des rencontres où se mélange des moments festifs et des débats parfois houleux. Ce film célèbre ceux qui bâtissent l’Acadie d’aujourd’hui et ceux qui sont témoins de son évolution. Un film qui restera dans les mémoires et les annales de la pensée acadienne.

Les noms Jacques Doucet et Alexandre Bilodeau sont évidemment associés au groupe Radio Radio. Les deux artistes originaires de la Baie Sainte-Marie sont dans le documentaire Havrer à la Baie, du réalisateur Joël A. Robichaud. Celui-ci les ramène dans la région de leur enfance, pour découvrir les gens et les endroits qui font la fierté de la Baie.

Une narrative musicale animée par le violoniste Jasper Wood. Originaire de Moncton, Jasper Wood voyage le monde entier avec son violon et reçoit des prix et des éloges pour ses récitals solo, en chambre ou avec orchestre symphonique. Jasper revient chez lui à la découverte de ses racines musicales. Dans « The Maritime Violin of Jasper Wood », nous retrouvons les musiciens, Ned Landry et ses arrières petits-enfants. Alison et Alexandre Landry, Ivan et Vivian Hicks, Terri Surette, Martin Melanson ainsi que le Quatuor Arthur LeBlanc. Cette oeuvre a été réalisée à partir de la chapelle Sainte-Anne de Beaumont, du Monument Lefèbvre, de Kings Landing et sur la rivière Tobique pendant l’évènement ‘Fiddles on the Tobique’ durant le mois de juin 2006.