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Ottawa – Le 26 octobre 2021. La toute nouvelle équipe ministérielle du gouvernement Trudeau venant d’être annoncée, l’Alliance des producteurs francophones du Canada (APFC) se réjouit de constater la nomination de cinq ministres issus de la francophonie canadienne au sein du cabinet fédéral et les félicite, ainsi que tous les nouveaux ministres nommés aujourd’hui. Faisant suite aux engagements des Libéraux dans leur plateforme électorale, l’APFC offre son entière collaboration à l’honorable Pablo Rodriguez, ministre du Patrimoine canadien, et à l’honorable Ginette Petitpas Taylor, ministre des Langues officielles, pour réintroduire les projets de réforme de la Loi sur la radiodiffusion et de la Loi sur les langues officielles durant les 100 premiers jours de leur nouveau mandat. Durant tout le processus de modernisation de ces projets de loi, l’APFC a martelé l’urgence d’agir pour mettre en place des mesures législatives efficaces qui donneraient à tous les Canadiennes et Canadiens une réelle opportunité d’expression dans une société en constante évolution. Maintenant que le cabinet fédéral est formé, un décompte s’amorce donc pour la modernisation de ces deux cadres législatifs majeurs.
Renouveau et continuité
L’APFC accueille favorablement le retour de l’honorable Pablo Rodriguez à titre de ministre du Patrimoine canadien. Son expérience antérieure au sein de ces mêmes fonctions, ainsi que sa connaissance des enjeux de ce complexe dossier, seront des atouts significatifs pour poursuivre la révision de la Loi sur la radiodiffusion et donner suite à son adoption.
En tant que députée du Nouveau-Brunswick, seule province officiellement bilingue du pays, la nouvelle ministre des Langues officielles, l’honorable Ginette Petitpas Taylor, est pour sa part favorablement positionnée pour saisir l’importance de protéger les minorités linguistiques en renforçant leurs droits par l’entremise d’un projet de loi révisé.
Langue et culture : intrinsèquement reliées
« Au cours du processus de modernisation des deux projets de loi, l’APFC a salué les intentions du gouvernement fédéral de mieux affirmer les liens entre sa politique linguistique et son appui au secteur culturel », souligne Carol Ann Pilon, la directrice générale de l’organisation. Il faut s’assurer que cette reconnaissance se transpose dans les politiques et la réglementation, car la culture demeure un instrument clé pour voir à la protection et à l’épanouissement des communautés de langue officielle en situation minoritaire. « Soutenir la production et la diffusion de contenu médiatique francophone, c’est aussi contribuer à la vitalité de la langue française », précise madame Pilon. « L’APFC s’engage à porter ce message aux ministres nouvellement nominés. »
À propos de l’APFC
L’Alliance des producteurs francophones du Canada se consacre au développement de l’industrie francophone du film, de la télévision et des médias numériques à l’échelle canadienne. L’APFC est le porte‐parole du secteur de l’audiovisuel et de la production indépendante en francophonie au Canada.
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Pour renseignements :
Carol Ann Pilon, directrice générale
[email protected]
613 230-1116
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Montréal, le 9 septembre 2021 – Si jusqu’ici le contenu audiovisuel de langue anglaise bénéficiait de budgets plus élevés que celui de langue française pour concurrencer le contenu américain et que le marché francophone était protégé par sa langue, la situation est maintenant totalement différente. Le français est en déclin sur tout le territoire canadien et l’internet haute vitesse favorise l’accès à une multitude de contenus en ligne dont certains sont produits par des multinationales étrangères qui y investissent des milliards de dollars. La concurrence pour retenir l’auditoire est devenue un phénomène international auquel le Québec et toute la francophonie canadienne n’échappent pas.
La solution passe par une augmentation des budgets de Téléfilm Canada et du Fonds des médias du Canada (FMC) ainsi que par un meilleur équilibre dans le partage des enveloppes dédiées au développement et à la production. Il y a dans le partage existant des enveloppes octroyées au marché de langue française (1/3 des sommes) et à celui de langue anglaise (2/3), un déséquilibre structurel injustifiable.
Alors que les représentants des partis ont été invités par la Coalition pour la diversité des expressions culturelles à préciser leurs engagements en matière de culture le 13 septembre prochain, les associations de l’audiovisuel demandent que la contribution du gouvernement au FMC soit augmentée de manière à en doubler le budget sur un horizon de trois ans afin de permettre de répondre à la demande, de moderniser les programmes du FMC et de corriger le déséquilibre systémique du financement de la production de langue originale française actuellement plafonné au tiers du budget du FMC. Un minimum de 40 % du budget du FMC devrait donc être destiné aux enveloppes du marché de langue française et les sommes supplémentaires que pourrait recevoir le FMC devraient en partie servir à corriger la situation.
Dans le dernier budget fédéral, le gouvernement s’est engagé à ajouter 35 millions de dollars au budget de Téléfilm Canada en 2022-2023 et 50 millions en 2023-2024. Les associations demandent que ces engagements soient respectés par tous les partis politiques et qu’ils rendent cette hausse permanente. De plus, ils doivent exiger de Téléfilm Canada qu’avec l’augmentation de son financement, elle rééquilibre les enveloppes de ses programmes afin d’octroyer un minimum de 40 % des sommes au marché de langue française.
« Nous voulons continuer d’écrire, de créer et de produire du contenu audiovisuel en français. Augmenter les budgets de Téléfilm Canada de même que du Fonds des médias et octroyer un minimum de 40 % des enveloppes aux programmes destinés aux contenus de langue originale française comme cela se fait pour les fonds canadiens destinés à la musique sont des actions nécessaires pour l’essor de notre industrie et pour la protection de notre langue et de notre culture. Les partis doivent s’engager à corriger rapidement cette injustice » ont déclaré les représentants de l’APFC, de l’AQPM, de l’ARRQ, de la SARTEC, de la SACD-SCAM, et de l’UDA.
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À propos :
APFC Alliance des producteurs francophones du Canada
AQPM Association québécoise de la production médiatique
ARRQ Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec
SACD-SCAM Société des auteurs et compositeurs dramatiques – Société civile des auteurs multimédia
SARTEC Société des auteurs de radio, télévision et cinéma
Renseignements :
APFC : Carol Ann Pilon, 613-230-1116, [email protected]
AQPM : Hélène Messier, 514 397-8600, poste 222, [email protected]
ARRQ : Stéphanie Brûlé, 514 842-7373 poste 223, [email protected]
SARTEC : Isabelle Froment, 438 522-5381, [email protected]
UDA : Sylvie Lahaie, 514 288-7150, poste 1227, [email protected]
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Le 6 juillet 2021 – C’est avec fierté que l’Alliance des producteurs francophones du Canada (APFC) souligne le travail de ses membres, qui se démarquent une fois de plus en tant que producteurs de l’industrie de la télévision et des médias numériques. Parmi les finalistes figurent cinq membres de l’APFC, pour un total de huit nominations : Slalom Productions, Machine Gum Productions, Wookey Films, Les Productions Bliktv et Les productions Mozus.
Les Gémeaux récompensent l’excellence de la production télévisuelle et des médias numériques francophones au pays. La 36e édition du gala se tiendra le 19 septembre prochain et sera diffusée en direct sur ICI Radio-Canada Télé.
L’APFC félicite avec enthousiasme les exploits de ses membres et leur souhaite la meilleure des chances à l’occasion du dévoilement des lauréats.
Voici les productions des membres de l’APFC en nomination :
MEILLEUR MAGAZINE STYLE DE VIE
50 FAÇONS DE TUER SA MÈRE – Marie-Pierre Gariépy, Angélique Richer (Productions Mustang / SLALOM)
MEILLEURE ÉMISSION OU SÉRIE DOCUMENTAIRE : NATURE, SCIENCES ET ENVIRONNEMENT
CIAO PLASTIQUE – David Baeta, Philippe Burnet, Simon Madore (Machine Gum Productions)
MEILLEURE RÉALISATION DOCUMENTAIRE : BIOGRAPHIE OU PORTRAIT, ARTS ET CULTURE, NATURE, SCIENCES ET ENVIRONNEMENT – SÉRIE
Mylène Simard, Jérémie Wookey – COMMENT DEVENIR ADULTE « Épisode 1 – Changer les choses » (Wookey Films)
MEILLEURE RECHERCHE : DOCUMENTAIRE – ÉMISSION
Anne-Marie Dolbec, Léa Pascal – VIVRE VIEUX (Les Productions BLIKTV)
MEILLEUR MONTAGE : AFFAIRES PUBLIQUES, DOCUMENTAIRE – SÉRIE
Marc Fourreau – CIAO PLASTIQUE « Épisode 2 – Les vacances » (Machine Gum Productions)
MEILLEURE ANIMATION : MAGAZINE STYLE DE VIE
Anaïs Favron – 50 FAÇONS DE TUER SA MÈRE « Épisode 3 – Montréal » (Productions Mustang /SLALOM)
MEILLEURE COMPOSANTE NUMÉRIQUE POUR UNE ÉMISSION OU SÉRIE : FICTION, VARIÉTÉS
À LA VALDRAGUE – SAISON 3 – Maurice André Aubin, Suzette Lagacé (Les productions Mozus)
MEILLEURE COMPOSANTE NUMÉRIQUE POUR UNE ÉMISSION OU SÉRIE : DOCUMENTAIRE
CIAO PLASTIQUE – MÉDIAS NUMÉRIQUES – David Baeta, Philippe Burnet, Simon Madore (Machine Gum Productions)
À propos de l’APFC
L’Alliance des producteurs francophones du Canada se consacre au développement de
l’industrie francophone du film, de la télévision et des médias numériques aux quatre coins du Canada. L’APFC est le porte‐parole du secteur de l’audiovisuel et de la production indépendante en francophonie au Canada.
Source : Carol Ann Pilon
Directrice générale
613 230-1116
[email protected]
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Ottawa – Le 17 juin 2021. Suivant le dépôt du projet de loi C-32 portant sur la modernisation de la Loi sur les langues officielles (LLO), l’Alliance des producteurs francophones du Canada (APFC) se réjouit des engagements du gouvernement du Canada, qui place la protection et l’épanouissement des communautés de langue officielle en situation minoritaire (CLOSM) au cœur de sa réforme tout en reconnaissant la culture comme instrument clé pour y parvenir.
En tant que représentant et porte-parole du secteur de l’audiovisuel de la francophonie canadienne, l’APFC accueille très favorablement l’ajout à la loi, qui stipule que CBC/Radio-Canada est une institution phare qui, par ses activités, contribue à l’épanouissement des communautés de langue officielle en situation minoritaire ainsi qu’à la promotion et à la protection des deux langues officielles.
Le rôle qu’entend jouer le gouvernement fédéral en matière de défense et de vitalité des CLOSM sera aussi assumé par des institutions fortes qui les desserviront au sein de secteurs essentiels comme la culture et l’éducation. « La société est en pleine évolution; elle s’ouvre sur le monde et se façonne au rythme des nombreux changements technologiques. Face à la majorité, d’ici et d’ailleurs, il s’avère capital de s’assurer que les francophones du pays puissent continuer de vivre, s’exprimer, travailler, apprendre et créer en français, dans leur communauté », souligne la directrice générale de l’APFC, Carol Ann Pilon.
Les projets de loi C-10 (Loi sur la radiodiffusion) et C-32, qui visent la modernisation des politiques et de la règlementation, s’inscrivent dans cette volonté de s’adapter aux bouleversements actuels et éventuels du paysage canadien, tout en veillant à protéger et faire entendre toutes les voix du pays. L’APFC s’engage pour sa part à poursuivre sa mission de porter celles des communautés francophones minoritaires.
À propos de l’APFC
L’Alliance des producteurs francophones du Canada (APFC) se consacre au développement de l’industrie francophone du film, de la télévision et des médias numériques à l’échelle canadienne. L’APFC est le porte‐parole du secteur de l’audiovisuel et de la production indépendante en francophonie au Canada.
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Pour renseignements :
Carol Ann Pilon, directrice générale de l’Alliance des producteurs francophones du Canada
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Communiqué
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Nominations au conseil d’administration de l’APFC :
une entité à l’image de la diversité des producteurs francophones canadiens!
Ottawa, le 16 juin 2021– L’Alliance des producteurs francophones du Canada (APFC) est fière de présenter la nouvelle constitution de son conseil d’administration, suivant la tenue virtuelle de son assemblée générale annuelle, le mardi 15 juin 2021. Assurant une riche représentativité, trois membres joignent donc les rangs du conseil d’administration, incluant un nouveau président à sa tête.
Nouveau conseil d’administration de l’APFC
Président : David Baeta, Moi & Dave, Ontario – nouvellement élu
Conseillère : Anne-Marie Rocher, Productions Testa, Ontario – nouvellement élue
Conseillère : Micheline Arbez, Productions Rivard, Manitoba – nouvellement élue
Conseiller : Steve Jodoin, Productions Loft, Alberta
Conseiller : Marcel Gallant, Connections Productions, Nouvelle-Écosse
La directrice générale de l’APFC, Carol Ann Pilon, tient à remercier les membres sortants du conseil d’administration pour leur engagement des dernières années. Elle accueille avec joie le nouveau président, David Baeta, et les deux conseillères, Anne-Marie Rocher et Micheline Arbez, qui contribueront à bonifier la vision du conseil grâce à leurs expériences respectives. « Dans un contexte où le paysage audiovisuel canadien est à l’aube de grands changements, il est essentiel de compter sur les voix de producteurs indépendants provenant de différents horizons pour s’assurer de bien les représenter. »
Le nouveau président, David Baeta, affirme pour sa part avoir hâte de collaborer avec les membres pour contribuer au développement de l’Alliance, alors que la période est cruciale pour l’industrie. « Grâce à l’APFC, j’ai beaucoup reçu à titre de producteur indépendant et j’en suis reconnaissant. C’est le temps de redonner, maintenant. »
Conseil d’administration sortant
L’Alliance des producteurs francophones du Canada souligne la contribution du président sortant, René Savoie (Productions du milieu) et des deux conseillers, Tracy Legault (Carte blanche films) et Dominic Desjardins (Zazie films), qui se sont respectivement engagés durant neuf, six et deux ans au conseil.
L’association a aussi profité de ce rassemblement pour accueillir de nouveaux membres, portant à 25 le nombre de sociétés de production de la francophonie canadienne qu’elle représente : Botsford Media (Nouveau-Brunswick), Corey Loranger productions (Alberta), ainsi que Productions Sahkosh (Ontario).
À propos de l’APFC
L’Alliance des producteurs francophones du Canada se consacre au développement de l’industrie francophone du film, de la télévision et des médias numériques aux quatre coins du Canada. L’APFC est le porte‐parole du secteur de l’audiovisuel et de la production indépendante en francophonie au Canada.
Le 7 juin 2021 – L’Alliance des producteurs francophones du Canada figure parmi les trente associations signataires d’une lettre ouverte publiée aujourd’hui et demain dans le Journal de Montréal, The Hill Times et Toronto Star.
D’une voix commune, ils affirment qu’il est temps de se concentrer sur la tâche urgente de bâtir un système de radiodiffusion durable, compétitif et de classe mondiale qui continue de servir les Canadiens et Canadiennes.
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Ottawa – Le 20 avril 2021. Suivant le dépôt du budget fédéral 2021, l’Alliance des producteurs francophones du Canada (APFC) accueille très favorablement les sommes prévues en culture, qui contribueront non seulement à la relance du secteur, mais qui viendront encourager la diversité des voix et garantir un meilleur accès à tous les créateurs de l’industrie. L’APFC se réjouit que le gouvernement fédéral ait été à l’écoute du secteur de l’audiovisuel afin que davantage d’œuvres télévisuelles, cinématographiques et numériques canadiennes soient portées aux écrans du pays, racontant ainsi les histoires de toute la diversité du pays. Avec ces annonces, les intentions économiques rejoignent la volonté publique et politique qui réclame une industrie plus représentative et inclusive. « Les conditions sont enfin propices pour permettre l’expression de tous les groupes sous-représentés », affirme la directrice générale de l’Alliance, Carol Ann Pilon. « Il est primordial que cette opportunité contribue au soutien des voix historiquement marginalisées, dont celles des communautés francophones en situation minoritaire. »
Une plus grande diversité assurée
L’APFC salue les intentions qui sous-tendent les sommes injectées par Ottawa au sein de ses institutions culturelles fédérales, Téléfilm Canada, le Fonds des médias du Canada, Radio-Canada et l’Office national du film. Peuples diversifiés, meilleur accès, créateurs dignes d’équité : le choix des mots intégrés à l’énoncé économique fédéral est porteur d’espoir pour les groupes sous-représentés de l’industrie audiovisuelle. « Historiquement, les producteurs et créateurs de la francophonie canadienne, qui font partie de ces groupes, ont subi un manque d’accès au financement pour le développement et la production d’œuvres audiovisuelles, particulièrement en longs métrages », indique Carol Ann Pilon. « En donnant un financement plus substantiel à Téléfilm Canada pour que soit notamment modernisé son ensemble de programmes, le gouvernement lui donnera l’agilité nécessaire pour passer de la volonté à l’acte quant à son engagement de soutenir la diversité. » La voix des francophones du pays nourrit cette diversité. Il faut favoriser l’épanouissement et l’expression de tous ces créateurs en éliminant les barrières et en leur assurant un accès équitable aux ressources de l’industrie. Il en est de même pour toutes les institutions publiques.
La francophonie valorisée
Pour l’APFC, les investissements prévus au budget fédéral arrivent à point nommé pour les francophones canadiens, qui contribuent au processus de modernisation du paysage politique canadien depuis plusieurs années. Avec la publication récente du document de réforme des langues officielles et la révision de Loi sur la radiodiffusion, l’annonce de ces mesures économiques à l’égard du secteur culturel et des langues officielles mène à une conjoncture politique plus que favorable pour les communautés francophones en milieu minoritaire. La directrice de l’Alliance affirme qu’il faut cependant agir rapidement : « Maintenant que la volonté du gouvernement est confirmée et soutenue par des moyens économiques, il faut s’activer pour rétablir les iniquités historiques. »
L’APFC s’engage par ailleurs à poursuivre le dialogue entamé avec tous les acteurs concernés afin d’encadrer les mesures permettant aux artisans et créateurs de la francophonie de s’exprimer au sein d’une culture d’inclusion pérenne.
L’équité fiscale
Bien que sa mise en application soit encore à évaluer, l’imposition d’une taxe de 3 % sur les revenus tirés des services numériques est un pas dans la bonne direction, selon l’Alliance. L’APFC espère qu’une partie des recettes ainsi générées contribuera à la création, à la production et à la diffusion du contenu canadien, mettant ainsi en valeur toute sa richesse et sa diversité.
À propose de l’APFC
L’Alliance des producteurs francophones du Canada se consacre au développement de l’industrie francophone du film, de la télévision et des médias numériques à l’échelle canadienne. L’APFC est le porte‐parole du secteur de l’audiovisuel et de la production indépendante en francophonie au Canada.
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Ottawa – Le 19 février 2021. L’Alliance des producteurs francophones du Canada (APFC) accueille favorablement le document de réforme des langues officielles, présenté aujourd’hui par la ministre du Développement économique et des Langues officielles, l’honorable Mélanie Joly, dans le cadre de la modernisation de la Loi sur les langues officielles (LLO).
L’APFC représente les producteurs indépendants du secteur de l’audiovisuel, vivant et œuvrant dans les communautés francophones en situation minoritaire. Elle salue donc les intentions du gouvernement du Canada de mieux affirmer les liens entre sa politique linguistique et son appui au secteur culturel en passant par une égalité réelle des langues officielles.
De manière plus spécifique, l’APFC reconnaît sa propre volonté et celle de ses membres dans le document de réforme qui met en lumière l’importance de soutenir la création et la diffusion du contenu francophone médiatique, culturel et numérique et d’en améliorer l’accès pour tous les Canadiens.
« Nous nous réjouissons de constater que la modernisation et le renforcement de la Loi sur les langues officielles s’appuieront sur les deux institutions phares que sont CBC/Radio-Canada et le CRTC », affirme Carol Ann Pilon, la directrice générale de l’APFC. « Leurs rôles sont cruciaux pour les CLOSM et les voir ainsi enchâssés dans le futur projet de loi démontre que l’on reconnaît leur importance en matière de valorisation linguistique, identitaire et culturelle. »
L’honorable Mélanie Joly indique par ailleurs que cette vision modernisée de la LLO passera par la réglementation et des politiques de diffusion. Les actuels travaux entrepris avec le dépôt du projet de loi C 10, et auxquels participe activement l’APFC, offriront un excellent contexte pour le faire.
Cela permettra de reconnaître l’importance pour les francophones d’avoir accès à des moyens de faire entendre leur voix, notamment dans l’espace numérique, et d’ainsi renforcer le statut de la langue française partout au pays. Il est important également que les minorités linguistiques se reconnaissent, puissent se faire entendre et participent à cet effort. – Extrait du document de réforme des langues officielles
À propos de l’APFC
L’Alliance des producteurs francophones du Canada (APFC) se consacre au développement de l’industrie francophone du film, de la télévision et des médias numériques à l’échelle canadienne. L’APFC est le porte‐parole du secteur de l’audiovisuel et de la production indépendante en francophonie au Canada.
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UNE REPRISE ASSURÉE PAR LE FONDS D’INDEMNISATION À COURT TERME POUR LES PRODUCTIONS AUDIOVISUELLES CANADIENNES
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Tel que l’a souligné le ministre fédéral du Patrimoine canadien Steven Guilbeault lors de son annonce : grâce à la bonification du fonds de 50 millions à 100 millions, « le nombre de productions couvertes va pouvoir augmenter de façon significative, ce qui veut dire plus d’emplois, plus de productions, plus de contenu canadien disponible pour un auditoire d’un bout à l’autre du pays ».
Malgré les défis importants qui affectent encore le secteur de l’audiovisuel, l’extension de ce programme donne aux producteurs une impulsion dont ils ont grand besoin.
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MODERNISATION DE LA LOI SUR LA RADIODFFUSION : LE FÉDÉRAL
SE DONNE DES MOYENS POUR ASSUJETTIR LES DIFFUSEURS EN LIGNE
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Ottawa – Le 4 novembre 2020. L’Alliance des producteurs francophones du Canada (APFC) accueille favorablement le projet modifiant la Loi sur la radiodiffusion, déposé hier par le ministre du Patrimoine canadien, l’honorable Steven Guilbeault. Grâce aux changements majeurs proposés, le CRTC aura enfin les pouvoirs réclamés par l’ensemble des intervenants du secteur audiovisuel pour obliger les services de diffusion en ligne à contribuer à juste part au système de radiodiffusion canadien.
En s’assurant que la loi s’appliquera dorénavant aux géants du Web, le gouvernement fédéral se donne les moyens de les faire participer concrètement à la création, à la production et à la diffusion du contenu canadien. « Avec cette modernisation tant attendue, c’est toute l’industrie qui en sera renforcée, indique la directrice générale de l’APFC, Carol Ann Pilon. Ces solides assises soutiendront plus équitablement la diversité de notre société, en donnant des ressources adéquates à toutes les voix du pays, dont font partie les communautés francophones en situation minoritaire. » L’Alliance s’engage à participer activement aux prochaines étapes du processus menant à l’adoption du projet de loi. Elle veillera plus précisément à garantir la place des francophones en milieu minoritaire dans cette nouvelle loi, en les identifiant clairement à titre de contributeurs de la diversité et de la culture canadiennes.
À propos de l’APFC
L’Alliance des producteurs francophones du Canada (APFC) se consacre au développement de l’industrie francophone du film, de la télévision et des médias numériques à l’échelle canadienne. L’APFC est le porte‐parole du secteur de l’audiovisuel et de la production indépendante en francophonie au Canada.
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