À la fin de chaque été, dans la péninsule Acadienne, près de 110 bateaux prennent la mer à la recherche de hareng. Au fil de la saison, La pêche maudite suit quatre équipages différents. Les plus expérimentés réussissent à s’approprier une grande part du quota au détriment des pêcheurs moins talentueux ou moins chanceux. Les embarcations, souvent trop chargées face à une mer déchainée, se retrouvent parfois dans des situations dangereuses : la pêche au hareng cause un grand nombre de naufrages et d’incidents malheureux. Tous ces facteurs lui ont valu le surnom de » pêche maudite « .