How to be French en Colombie-Britannique

How to be French en Colombie-Britannique est un dérivé de la série « How to be French en Alberta ». Le succès de How to be French en Alberta a suscité de l’intérêt pour une version élargie de la série mettant en valeur le français dans les autres provinces canadiennes. 360 000 francophones vivent en Colombie-Britannique ! Il y a environ 70 000 francophones et 300 000 francophiles. « How to be French en Colombie-Britannique  » vise à mettre en lumière les communautés francophones de la Colombie-Britannique, à appuyer les initiatives, à favoriser la compréhension et la vitalité de la communauté par le biais de capsules poétiques et créatives.

Découvrir le Yukon sans argent, est-ce possible? L’impétueux Simon D’Amours tente de vivre du tourisme participatif.

Ce jeu interactif explore la place que les drogues occupent dans les habitudes et l’économie des Canadiens, et déconstruit quelques idées fausses qui leur sont associées.

 

 

Ce documentaire s’attaque aux mythes et aux tabous qui caractérisent cette plante complexe, et aux stigmates auxquels font face ses consommateurs.

Quelle serait votre réaction, si votre médecin vous annonçait: « Je ne sais pas ce que vous avez … et encore moins quoi faire pour vous aider! » ? Dans la série Maux Mystères, des personnes atteintes de maladies rares et souvent méconnues de la médecine moderne, voient leurs vies réduites à une course contre la montre, ultime et inexorable, vers l’obtention du diagnostic juste.

Pendant que patients et médecins s’acharnent à trouver un coupable, ces mystérieux maux se propagent et causent des ravages souvent irrévocables à leurs innocentes victimes. Cette incursion dans la quête de ces personnes malades, pose un regard humain sur la nécessité et surtout sur l’urgence d’obtenir un diagnostic juste, lorsque notre survie en dépend.

L’itinérance est un miroir de ce que l’on est, de ce que l’on vaut. Ensemble.  Dans ce road movie documentaire en 3 épisodes, Pascal pouce et campe à travers le Canada, Robert passe de son banc de parc à un appartement chauffé alors que Jacques, lui, part vivre tout seul dans le bois…

Avec eux et d’autres, cette série révèle – dans l’action – la complexe réalité de l’itinérance et du déracinement du point de vue de ceux qui sont en plein dedans. Chaque épisode y propose une façon de comprendre la vie dans la rue et l’instabilité résidentielle au Canada, à travers l’expérience de protagonistes que notre équipe de tournage a suivis au cours d’une année tumultueuse, faite de souffrance, de larmes et de joies. Ici, les personnes itinérantes et ceux qui peinent à payer leur loyer deviennent l’incarnation extrême de ce fossé qu’on ressent tous au fond notre âme. Ce fossé immense qui nous sépare du monde qui nous entoure.  Et si le vrai remède à l’errance et au déracinement, c’était l’amour et l’amitié?

La côte ouest est mythique. Avec ses hautes montagnes, ses grands espaces, son climat tempéré et son accès privilégié à l’océan Pacifique, c’est le décor rêvé pour des chalets spectaculaires.  Dans Chalets de la côte ouest, l’animatrice Evelyne Charuest vous emmène à la découverte de ces bijoux d’architecture, tantôt dans la forêt, tantôt sur une île privée, mais toujours sur la piste de chalets étonnants.

Rude et éprouvante, la Yukon Quest est la course internationale de chiens de traineau la plus difficile au monde. Elle emprunte une combinaison de routes entre Whitehorse, Yukon et Fairbanks, Alaska et se déroule tous les mois de février depuis 1984. Le parcours est long et difficile et les conditions climatiques sont peu clémentes avec des températures pouvant atteindre -50°C et des heures d’ensoleillement très réduites.

Dans « Mushers : à la conquête de la Yukon Quest » suivez la préparation logistique et physique de notre participant et ses chiens et accompagnez-les tout au long de la course jusqu’à la ligne d’arrivée.

De la traite de la fourrure à la ruée vers l’or noir, l’Ouest canadien reçoit des populations de partout pour ses grands espaces et la promesse d’une vie future prospère. On y retrouve aussi les Premières Nations qui y habitent depuis plus de 10 000 ans. Aussitôt passée la frontière à l’ouest de l’Ontario, on découvre une terre hostile et féroce : le port d’arme et le nombre d’incidents criminels par habitant doublent. Une population plus jeune, plus émotive, et plus instable, supporte mal les rêves déchus et répond avec violence. Avec comme toile de fond des paysages époustouflants, «Crimes de l’ouest» peint le portrait d’un monde brutal à la frontière de la civilisation et du monde sauvage.

Pour ces quelques francophones qui ont eu le coup de cœur, le Yukon est cet espace magique où, au-delà de la langue et de la culture française, leurs vies ont pris racines. Que l’on soit immigrant belge, arrivé à la fin des années 60; jeune famille venue vivre le mythe boréal, avec traineaux à chiens et cabane en bois rond ou encore entrepreneurs en tourisme avec le projet du parfait petit café, le Yukon est un de ces lieux où il est encore possible de trouver, de se trouver.

Arc-bouté sous le poids de ses rêves, l’image indélogeable du chercheur d’or a cédé le tableau aux chercheurs de vrai, aux chercheurs de plénitude. Le Yukon n’est pas pour les cœurs sensibles, mais il accueille à bras ouverts les grands cœurs, les fous de la lumière comme disait la chanson. Celle des étés sans fin comme celle des aurores boréales.

Épisode complet :

http://ici.radio-canada.ca/regions/special/2014/YPF/index.asp